Bureau/appartement du baron.(sert de bureau de recrutement)

Ici ce trouve la pièce personnel du baron Vanos, deux gardes d’honneur possédant armes et armures rutilantes y sont poster a l’entrée pour veiller a que sa tranquillité ne soit pas troubler par n’importe qui et pour rien.

Non loin de là une plaque de fer portant des inscriptions est placarder au mur. :

Citation :

Demandes de postes : conseiller/secrétaire
messager/espion
armurier/maître d'armes
et bien sûr : soldats, gardes ...

Derrière la porte, le baron répondit doucereusement.

Lâchez là et faites là entrée ou je vous le ferrez regretter amèrement.

Garde 1 : Bien baron...nous sommes désolé.

Un des deux la posa et l'autre ouvrit la porte avec cérémonie, se pinçant les lèvres sous les dires menaçant du baron.

Entre ma fille...

Il était debout en train de regarder sa collection de trophées de chasse.

Jézabel courra se blottir pres de son père en voyant la scène. Le sang ne lui faisait pas peur du tout mais le robot l'impressionnait...

_ "Qu'... qu'est-ce qu'il se passe, père ?" Lui demanda-t-elle.

Le baron posa une main réconfortante sur l'épaule de sa fille et se baissa a sa hauteur, posant un genou a terre, lui souriant.

Je ne sais pas mais ne t'inquiète pas...

Il leva un regard presque assassin aux gardes, et leurs fit signe de sortir de la tête se qu'il furent sans dire mot et en fermant la porte derrière eux, laissant le robot dans le coin de la pièce.

Vanos regarda un instant le robot, légèrement interloquer puis retourna un regard tendre vers sa fille.

Hum...Jézabel ma fille, tu voulais me dire quelque chose d'important...?

Il lui sourit doucereusement, aplatissant d'un discret et précis coup de main un épi qu'elle avait dans sa coiffure plus que soignée.

Le Baron perdit sont sourire de moitié, et la fixa dans les yeux.

Je...

Il baissa un peu le regard comme honteux, et lui pris doucement le bras pour penser a autre chose.

Tu crois que c'est en faisant du mal que je serais plus attentif et passerais plus de temps avec toi ?

Crois moi je préfère te voir sourire et heureuse que te voir plus souvent mais blesser.

Il parcoura la blessure du regard, posa un baiser dessus comme ferait un parent a sont enfant pour lui montrer qu’il n’y a pas de raison d’avoir mal, et la fixa a nouveau en souriant affectueusement.

Faisons un marcher alors, tu arrêtes de te donner du mal, et je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour te rendre plus heureuse, tu veux bien ?

Il se redressa et tourna sont regard vers la machine et s'en approcha, arriver a sont hauteur il la tata du pied et lui jeta un regard hautain.

Identifies toi machine...

Face a ces réponse le baron resta perplexe un instant...la taille de la machine ne l'impressionner nullement malgré sont 1m78.

Hum...

Il le toisa du regard de bas en haut, puis plongea sont regard dans ses "yeux".

Et...comment a tu trouver notre domaine...machine ?

En disant notre il parler de lui et de Jézabel, et se refuser de l'appeler par sont "nom" tant que toutes ses questions n'eux réponses adéquates.

Il lui sourit, un peu amuser par sont agacement.

Et bien d'accord...KL-349, j’accepte ta présence ici en tant que soutien armer, catégorie...assassine.

‘Cela tombe bien, les hommes n’ont pas eu encore le cran de s’afficher capable de se soumettre a se genre de grade…’

Il lui sourit largement derrière sont foulard, puis d'un doigt le baissa et lui chuchota.

Nous de sommes pas xénophobes, mes hommes non plus, si quelconque personne te fait une remarque que tu trouves...désagréable, fait le savoir.

Puis il lui indiqua la porte, l’ouvrit et indiqua a un garde de le mener a une chambre, puis il haussa la voix après avoir remis sont foulard.

N'oubli pas, je déteste par dessus tout toutes formes de racismes, et ceci venant de toi ou de mes hommes, ce ne sera pas tolérer !

Vanos regarda le droïde partir, l’air songeur mais souriant.

'Hum intéressant...mais reste a surveiller, je n'ai pas grande confiance en ce genre de technologie, pour l'instant...'

Il se retourna vers sa princesse et s'en approcha en souriant avec douceur, puis se baissa à sa hauteur.

Alors mon coeur, tu as réfléchis à mon offre...?

Il haussa un sourcil et la regarda avec confiance, attendant sa réponse.

Tu es si jeune ma fille...

Il la regarda tendrement, et posa une main derrière sa taille et la sera affectueusement contre elle, et lui caressa sa chevelure de l'autre main.

Est tu sur que se que tu dis est sincère ? Je n'ai pas envie de te voir te battre pour moi, j’ai les mercenaires et les hommes pour ça...

Il la redressa et posa ses mains sur ses épaules en la fixant de ses yeux verts.

Tu ressemble tellement a ta mère...si elle aurait été là et t'aurait entendue tenir de tels propos elle ne s'aurais pas empêcher d'être extrêmement fière de toi.

Il dit ça avec une lueur d'émotion dans la voix, puis repris calmementet sérieusement.

J'accepte ton aide, mais je me refuse de te voir te battre sans que tu ais mesuré les conséquences que ça peut encourir, d'accord ?

Tiré par Jézabel, KL-349 arriva dans le bureau du Baron. Bien que son programme lui déconseille de prendre la parole sans l'autorisation d'un maître ou d'un proche de ce dernier mais il rusa en déclarant à ses fonctions que ses renseignements seraient bons pour l'avenir de Vanos et que l'objectif principal est la survie de celui ci. Il repprit les mots exacts qu'il avait dit à Jézabel :

"Hypothèse : Nous sommes bien des mercenaires ici ... Et je voudrai bien savoir quelle genre de mission vous donnez ...Et quels sont vos ennemis et vos alliés au cas où je ferai une erreur. Et si vous fournissez des armes à vos nouvelles recrues. Et bien sur si notre travail est bien dangereux. Enfin Pouvons nous prendre des initiatives lors d'une mission ?
Explication : Votre fille m'a conseillé de vous renseigner auprès de vous. "